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Fastnet Race – Notre course

Fastnet Race – Notre course

Départ, le dimanche 8 août de Cowes. Pour le Fastnet. La course au large, la plus ancienne et réputée la plus dure. (elle va être à la hauteur de ce que l’on en dit).
Groupe IRC 4 et Double.

C’est notre première Fastnet en duo et la mise en jambe est de taille. Les premières 24h s’annoncent salées….. 30 nœuds, une mer cassante,… bref, on part à 10h du ponton avec un gros repas dans le ventre car on ne va pas manger correctement pendant ces 24h.

Départ 12h, dans le Solent (baie sud Angleterre), en retard sur la ligne, mal positionnés, à cause d’un problème d’accroche de notre voile d’avant. Nous sommes sous solent et GV 1 ris (28 nœuds, rafales à 32). Certains ont pris 2 Ris, d’autres ont aussi mis leur ORC (toute petite voile d’avant). Ce n’est pas si grave, avec un bon travail, on arrive à sortir des Needles, avec la tête de notre flotte,

Puis, nous voici en manche, 3h que nous sommes partis, nous sommes trempés de la tête au pied… Première rotation de vent, on prend et on part vers les côtes anglaises pour se protéger du courant de face qui va arriver. Cela va être de la survie, toute la nuit. Au près, dans 30 nœuds. Le bateau va bien, va vite, (mais le pilote ne peut faire un travail correct), on va se relayer toutes les 2h à la barre, harnachés au bateau.

Dans la matinée, du 2ème jour, moins de vent, la mer s’aplatie un peu, on prend enfin le temps de respirer. On refait un point météo. On regarde, autour de nous, Léon (JPK 10.30) est juste devant et Aileau (une 1ère pour nous le JPK 10.80 est derrière). On a du réseau, on regarde notre position, nous sommes 1er IRC 4 et 2ème IRC Double. C’est réconfortant, on oublierait presque que l’on est trempés de la tête aux pieds. Dans la journée, nous nous sauvons avec le groupe de bateau IRC 3 (la taille au dessus…).

Puis, la 2ème nuit, c’est la négociation du passage des iles Scilly. Compliqué, le vent tombe vers minuit. Nous sommes encore le long des côtes, mais il faut descendre pour passer entre les 2 DST … guerre des nerfs, 2h sans vent… on voit certains bateaux repartir, puis s’arrêter. On va finalement sortir très bien à nouveau de ce passage.

Au petit matin, du 2ème jour, nous sommes dans la traversée de la mer Celtique, à naviguer avec des JPK 10.80, 10.30, SF 3600, voire même plus grand… bref pas avec les bateaux de notre groupe. Le vent s’oriente petit à petit, ce qui nous permet d’envoyer notre Code 0 sans câble Technique Voile #Laballe, les autres suivent, puis le vent forcit mais on ne veut pas les lâcher, alors « ils ont des ballast (lest rempli d’eau) et bien nous on va prendre un Ris ». 100 miles plus loin, à 4h du matin, à part un ou 2, nous les avons tous tenu. Rincés, à la limite du rouge, nous prenons notre position au passage du Fastnet. Toujours 2ème IRC Double, 1er IRC 4 en réel et compensé avec presque 1h d’avance sur le second et 30 milles d’avance sur le futur vainqueur.

C’est top (on aurait bien voulu voir le phare, tout de même !), mais la descente va être compliquée, moins d’air que nos poursuivants, ils vont grapiller tout le temps des milles. On sait déjà qu’il va nous falloir de la chance pour garder notre position, car cela part par devant et revient par derrière et nous nous sommes au milieu. Bref au milieu de 2 systèmes météo !

Retour et descente vers les iles Scilly, le 3ème jour. Super confortable sous grand Spi, enfin le bateau est à plat. On sera à une moyenne de 8 nœuds quand derrière, c’est du 10-12 nœuds…

Arrivée au milieu des DST et des Scilly, au matin du 4ème jour, on reprend notre position, nous sommes passés 3ème IRC Double et toujours 1er IRC 4, mais les bateaux se rapprochent. A la sortie des Scilly, les gros IRC double sont passés, la porte se referme pour nous. On va passer des heures à attendre du vent… et derrière, cela revient, revient… Puis on repart, mais pour aller à Cherbourg, nous n’avons plus d’autre choix que de faire du sud et de rallonger la route.

Au petit du matin du 4ème jour, nous sommes toujours avec les bateaux du groupe supérieur IRC3, que nous avons tenu tout le long, mais pour la première fois, on voit des bateaux de notre groupe, en visu… On comprend que c’est fait, nous sommes récupérés et c’est perdu. Nous ne sommes même plus 1er en réel (mais 4ième). Ils ont eu un vent différent, ils ont fait route directe alors que nous nous avons parcouru beaucoup plus de route dans cette derrière descente..

Un peu touché au moral, on se reprend et on va cravacher toute cette dernière matinée pour reprendre notre place de 1er en réel. Une bonne négociation des divers courants, le long du DST des Casquets, d’Origni, du Raz Blanchard, et au passage de la Hague, nous avons repris notre position de leader en temps réel. Un petit soulagement !

Pour les classements :

  • 116ème en temps et 30ème en temps compensé sur 314 bateaux. (9ème au Fastnet toutes classes confondues)
  • 5ème en IRC Double sur 59 bateaux (2ème au Fastnet)
  • 8ème en IRC 4 sur 70 bateaux (1er au Fastnet)

Félicitations à Trading Advices.com , nos amis brestois, venus pour gagner, qui au passage du Fastnet, se sont dit, c’est fini Adeosys a gagné (plus de 5h d’avance), mais n’ont rien lâché, grapillé miles par miles pour finir 15 minutes derrière nous.

Petites anecdotes :

  • La 1ère nuit, j’ai volé de la table à carte sur la cuisine. Bobo à la tête, du sang partout…
  • Empannage avec le stick (pièce qui permet de tenir la barre), qui se désolidarise. Un peu déconcertant lors de la manœuvre.
  • Pour sa seconde participation, David n’a encore pas pu voir le Rocher du Fastnet, peut-être que pour gagner, il faut le voir ?

Au final, le Fastnet aura confirmé que c’est une course dure. On s’est même dit avec David, jamais on ne revient en double sur un si petit bateau… Mais le JPK10.10 est vraiment un très bon bateau de près dans la brise, la piaule…. On reste sur notre faim, étant passé tout proche de le gagner. On va donc revenir !

Cowes Dinard

Cowes Dinard

Départ, vendredi 10h30 pour Cowes – Dinard.

Une première pour nous en double. On est venu découvrir les courants locaux et comment les appréhender. On ne va pas être déçus.
Au départ (sous le soleil Britannique, sisi..), nous sommes en retard, pensant être sur la ligne mais elle n’est pas simple à positionner (avec son mat et ses feux !). Nous prenons l’option de traverser la baie pour se protéger du courant du Solent et se mettre de manière favorable avec le courant à la renverse. Les yeux rivés sur la vitesse fond, nous restons dans les eaux peu profondes. On aurait dû traverser un peu plus tard. Pour autant, à la sortie des Needles, nous sommes bien placés.

Puis sur le chemin de la traversée de la Manche, premier gros trou de vent. Malgré des fichiers météo disant l’inverse , le vent rentre de l’autre côté et on mettra trop de temps à se recaller. Résultat, le passage aux Casquets ne nous est pas favorable, ainsi que son contournement trop proche des cailloux, qui ne nous mettra pas dans le maximum de courant.

La nuit est là, les yeux rivés sur les compteurs, on va passer notre temps à retirer les paquets d’algues des safrans avec la canne, à faire des marches arrière. C’est un champ de mines, Il pleut, il fait froid, bref pas du tout du plaisir !

A Guernesey, on voit notre position, c’est loin d’être top, on pointe à la 24ème place. On sait que le vent va mollir donc ça va se compliquer. Après analyse des derniers fichiers météo, on pourrait passer en allant chercher la côte française, comme un grand soleil a fait son retour, on devrait pouvoir longer la côte avec une petite brise en fin d’après-midi. Quelques nuages nous indiquent que cela pompe à la côte. Cela va être payant. A l’arrivée, on croise devant toute la flotte qui était devant nous à 21h30.

Au final, on fera 13ème sur 36 en IRC Double et 13ème en IRC 4 sur 31 bateaux (et 41ème sur 110 bateaux au scratch). Et surtout, on a beaucoup appris, il ne reste plus qu’à faire nos roadbooks des courants rencontrés.

Petite anecdote : Au premier repas, plus de gaz, on a dû se passer de café, et manger des plats préparés froid…(c’est pô bon…). Heureusement, il restait un paquet de chips et du saucisson !

 

Trinité Cherbourg

Trinité Cherbourg

Anciennement Trinité – Cowes mais pour cause de crise sanitaire, l’arrivée ne peut avoir lieu en Angleterre.

Et comme une grosse dépression arrive lundi soir, le départ a été avancé de 24h.

28 bateaux sur la ligne et 11 en double.

Nous prenons un très bon départ, là où nous voulions être, et pile dans les temps mais la sortie de la baie de Quiberon ne va se passer comme on l’envisageait, les gros bateaux en file vont nous passer dessus avec l’impossibilité de faire un contre bord pour se dégager ! On mange notre pain noir, on tire la barre : objectif aller au plus vite dans le Chenal de la Teignouse.

Arrivé dans le chenal, tous vont chercher à se protéger du courant, mais il en reste encore, on se cale au milieu de chenal et à la sortie de Quiberon, on a recollé les premiers de notre série, même les gros rating.

Puis route vers Groix, les Glénans, la Pointe de Penmarch, le Raz de Sein. David va naviguer quasiment en solo, toute la nuit car nauséeux, je suis fatigué, envie de dormir et un petit régime !
Pas beaucoup d’options, si ce n’est d’aller dans les eaux peu profondes des Glénans pour se protéger du courant.
Les gros rating (gros bateaux), sont partis, on ne peut pas suivre et Aileau, le JPK 1080 va en profiter pour prendre beaucoup d’avance….

Arrivée au Four (pointe Nord Finistère), on peut enfin envoyer notre spi asymétrique, et on va se sauver avec Hakuna Matata (Sun Fast 3200). Il est 10h du matin, on va jouer pendant 24h à celui qui anticipe, change spi asymétrique à spi symétrique, plus rapidement et repasse devant !

Passage à 20h50, au phare d’Eddystone, puis route vers Cherbourg.

Mais… avoir les déboires de la météo et ses caprices, la nuit ne va pas être de tout repos (grain 35 nœuds, pas de vent, grosses bascules plus ou moins 40 degrés,…), on va se présenter avec 30 minutes trop tard au Raz Blanchard (pointe de Cherbourg). La renverse du courant a commencé.

Nous prenons le choix de couper au plus court, pour se protéger du courant, on sait que les 2 derniers milles vont être compliqués car 3 à 4 nœuds de courants contre nous (il faut que le vent reste car cela doit mollir). Même à 2.9 nœuds sur le fond, ça passe, à la surprise de certains faisant le grand tour.

On passera la ligne d’arrivée, le lundi à 11h45 (après 41h39 de course), avec 3 minutes d’avance sur Hakuna Matata. Bien que nous ne soyons pas dans la même catégorie : « Merci de nous avoir pousser à toujours être dessus et ne rien lâcher, car sans vous on se serait senti bien seul !).
Aileau, le JPK 10.80 « Contre Ventes et Cancers » aura encore été trop fort, et pris trop d’avance. On savait que ce serait compliqué de ne pas se faire distancer sur les premières 24h. Olivier et Sylvain l’ont encore montré. Bravo à eux.

Résultat 2ème sur 11 bateaux en catégorie double et 4ème sur 25 bateaux.

Duo Catamania 2021

Duo Catamania 2021

6 courses en 6 jours et toutes les manches comptent. Il ne faut pas se rater. 55 bateaux sur la ligne.

La semaine va s’avérer une course de reaching (vent plus ou moins de travers au bateau), où le choix des voiles d’avant va être primordial !

Pour la 1ère fois, ce n’est pas avec David que je cours mais avec Jérôme CROYERE (qui pourrait en cas d’indisponibilité de David, le remplacer pour la Cap Martinique). 2 générations, 2 façons de naviguer. Jérôme navigue qu’aux sensations/ressentis, moi avec mon électronique et mon informatique !

Dimanche : La trinité – Le Crouesty
Très bon départ, mais à la première marque on est loin suite à une grosse pétole, puis nous travaillons pour récupérer le haut de la flotte, mais sur le dernier bord, on garde le grand Spi. Le vent va monter, tourner et perdre des places. On aurait dû mettre notre A5 (petit Spi asymétrique)Résultat 21ème.

Lundi : Le Crouesty – Lorient
Très bon départ, on sera sur l’avant de la flotte jusqu’à la dernière marque. On envoi le Code 0 (voile entre génois et Spi asymétrique). On va se faire marcher dessus. On aurait dû mettre notre grand Spi asymétrique, le A3. – Résultat 10ème

Mardi : Lorient – Concarneau
Toujours un bon départ, à nouveau sous Spi, on va vite, le vent monte, on est bien placé. Nous serons les premiers à lancer l’empannage. 28-30 nœuds, cela ne passe pas. On va partir au tas, coucher le bateau. Il nous faudra 5 minutes pour affaler sous rien déchirer. Derrière, peu sont ceux à empanner. On va courrir toute la journée pour récupérer nos places, mais difficile de pouvoir suivre les gros bateau avec leur ballast ! Résultat : 17ème

Mercredi : Concarneau – Locmiquélic
Très mauvais départ, mais sur le premier bord, on se refait et on raccroche devant. Sous Spi, le bateau va vite, c’est top. Sur le plus grand bord, le groupe de derrière ira chercher la pression à la côte et va nous récupérer à  l’entrée de Lorient. Résultat : 6ème

Jeudi : Locmiquélic – Port Haliguen
Très bon départ, on part du côté, où nous sommes les seuls à avoir de la pression et en plus quand le vent va rentrer nous serons les premiers à le toucher. Mais un petit contre bord de trop vers Groix, nous pénalisera un peu. A nouveau un grand bord de reaching, on prend le choix de mettre notre A3 (grand Spi asymétrique). C’était la bonne voile. Résultat : 5ème

Vendredi : Port Haliguen – La Trinité
La boulette ! On est en avant de la flotte, avec quasiment 1 milles d’avance sur le 4ème et 5ème au général. On va oublier de les marquer et sur le grand bord de près, ils vont nous récupérer. Résultat : 10ème

Au final, on peut avoir des regrets sur nos choix de voiles et notre dernière erreur, mais 6ème sur 55 bateaux, on ne l’aurait pas cru au départ de dimanche.
Reste maintenant à peaufiner les Sailect (outil de choix des voiles), pour les bords de reaching.

Merci à Jean Le Guillon pour les photos

Gascogne 45/11

Parti, jeudi 16h de la Rochelle, pour une course au large de 750 miles, on va en faire 950 !

Jeudi 3 juin :
Le départ se passe très bien, on sort bien devant. On sait qu’il faut aller vite pour ne pas se faire marcher dessus par les gros rating. Passage de la pointe d’Oléron sous génois en tête de la flotte. Puis on envoie le Code 0 pour aller au plus vite vers le bas de l’anticyclone qui est installé dans le milieu du Golfe de Gascogne.

Le début de soirée se passe bien, on tient les Figaro 2 et le 3300, mais le vent monte et sans ballast, on ne peut rivaliser.

Vendredi 4 juin :
Toujours sous code 0, la descente va au mieux (190 miles parcouru en 24h). Vers 15h, le vent commence franchement à disparaître. Il va falloir encore plus plonger vers le Sud. Envoi du spi… et vers 19h, alors que l’on commence à buter contre le 1er système météo, on aperçoit les gros ratings (on comprend qu’on est 1er en réel), en train de chercher à descendre péniblement, on plonge encore plus. Mais freinés par la molle devant, les autres, nous reviennent dessus. Patrick ISOARD « Santosha pour Uship », nous passera un petit appel « Salut, les gars, je vous passe le bonjour, tout se passe bien… je commence à voir votre bateau, on arrive » (car ils sont tous un peu regroupé derrière ». Ce ne sera pas son seul appel !
1h après, c’est reparti, on se sauve à nouveau et on part pour une grande descente sous spi vers le Cap Ortegal.

Samedi 5 juin :
Toujours sous spi, on va parcourir en 24h plus de 200 miles, avec au passage 4h de surf à 12 nœuds. On a ce qu’on était venu chercher. Mais on va à nouveau ralentir car en fin d’après-midi, on a fait un peu trop de nord dans notre route. On voit à nouveau les bateaux derrière. Et Patrick, nous passe son petit appel !

Dimanche 6 juin :
A 7h, toujours 1er des 2 flottes, on coupe la longitude des 11° au point 44°28.275N – 10°59.978. Et c’est parti pour une remontée qui va se faire au près….sur 400 miles… !
Toute la journée, on va prendre de l’avance, le bateau marche tout seul au près, toujours dans nos polaires (100%), c’est top. Mais… une nouvelle bulle va nous arrêter vers 18h. Et quelques heures après… Patrick à nouveau la VHF !
On ressort le code 0, on accepte de replonger plus Sud pour s’extraire des basses pressions et on repart.

Lundi 7 juin :
On est encore reparti. mais la météo est compliquée. Aucun fichier Grib n’est en phase avec la réalité, on comprend que l’anticyclone devant a été coupé en 2 et a formé une longue dorsale, on ne sait plus par où on va vraiment pouvoir passer.  Plus les heures avancent plus le bateau ralenti, mais on a peu de solutions, à moins de faire du sud. Option non retenue, on rentre à la Trinité, on ne retourne pas en Espagne.
Les heures qui passent dans la molle sont pénibles. (Nouvel appel de Patrick!)

Mardi 8 juin :
On n’arrive pas à aller dans l’Est, impossible, et là, on voit Pierrick « ZEPHYRIN », qui 10 miles plus au sud, arrive, lui, à faire de l’Est. On vient de perdre notre 1er place en réel après 5 jours en tête.
Il va falloir attendre le milieu de journée pour repartir et plus on monte plus le vent forcit, c’est parti pour une remontée au près débridé de 130 miles.

Mercredi 6 juin :
Pierrick prend l’extérieur de Belle-Ile, il peut se retrouver sans vent, on passera donc par l’intérieur surtout que l’on doit arriver à la bonne heure pour avoir le courant avec nous.
Il finira finalement 49 minutes devant nous. Et arrivés au ponton, on apprendra que Blue Oscar est arrivé, il y a 2 heures. Problème d’émission de sa position… donc avons-nous été 1er réel pendant 5 jours sur 6 ?!

Au final, super transat, surtout que c’était notre première. On a pu valider pleins de points et surtout découvert que l’on pouvait passer beaucoup de temps à la table à carte à analyser notre routage et que lorsque tout va tout seul, le pilote sait faire le boulot… il va falloir amener des films et des livres pour les prochaines.

On finira 1er des doubles, 2ème au scratch et 3ème réel. 

Merci aux organisateurs d’avoir proposé ce format original. C’est un succès.
Merci à Patrick, d’avoir sans cesse mis la pression 😉

Grand Bravo à Pierrick PENVEN en solo – doublé Brestois, quoi… 😉

Petit clin d’œil à TECHNIQUE VOILES et son code 0 sans câbles (#Herewesail)

Dommage que le suivi de course à terre n’ait pas fonctionné pour les personnes qui acceptent nos absences !